Une famille, une légende.
Il y a eu une époque que les Canadiens français étaient traditionnellement désignés sous la dénomination et gérée par le clergé catholique. Voici, quelques lignes d'histoire d'une famille colonisatrice de la vallée de la Gatineau du nord de l'Outaouais du Québec au Canada.
Joseph Bénard et sa famille habitaient à Wright, chemin Chénier dans la division de Gracefield. Cultivateur contremaître dans les chantiers et marcheur de coupe de bois pour les compagnies forestières sont les postes que joseph occupa afin de subvenir au besoin familiaux.
De plus, il eut le bonheur de participer au transport de la première cloche de l'église de Gracefield. D'Ottawa, on la transporta dans un tombereau tiré par des chevaux. Les anciens gardent précieusement le souvenir du tintement de cette cloche qui se faisait entendre dans un rayon de quelques kilomètres.
Marie Henri, son épouse, naquit de la commune du lac Ste-Marie de la même vallée. Elle travailla comme ménagère pour le Révérend curé Faure à Gracefield avant de fonder son foyer. Âgée de 14 ans, Marie Henrie unit sa destinée à Joseph Bénard et de cette union ,21 enfants.
Marie ne se contentait pas d'être simplement épouse ou mère exemplaire, elle mettait au profit de la société son don spécial: la guérison des rhumatismes. Sa petite fille raconte avoir été témoin de la force de sa grand-mère.
Un jour, on lui présenta un homme immobile, enroulé dans des couvertures, qui souffrait en silence. Avec un linge de toile, mouiller dans une eau tiède et salée elle le frictionna pour activer la circulation. Son pouvoir et son habilité personnelle à "frotter" permirent à ce malheureux de retourner chez-lui en fin d'après-midi soulager et en marchant. De nombreuses furent guérie des rhumatismes grâce à son don.
Recherche: Daniel cécire
Joseph Bénard et sa famille habitaient à Wright, chemin Chénier dans la division de Gracefield. Cultivateur contremaître dans les chantiers et marcheur de coupe de bois pour les compagnies forestières sont les postes que joseph occupa afin de subvenir au besoin familiaux.
De plus, il eut le bonheur de participer au transport de la première cloche de l'église de Gracefield. D'Ottawa, on la transporta dans un tombereau tiré par des chevaux. Les anciens gardent précieusement le souvenir du tintement de cette cloche qui se faisait entendre dans un rayon de quelques kilomètres.
Marie Henri, son épouse, naquit de la commune du lac Ste-Marie de la même vallée. Elle travailla comme ménagère pour le Révérend curé Faure à Gracefield avant de fonder son foyer. Âgée de 14 ans, Marie Henrie unit sa destinée à Joseph Bénard et de cette union ,21 enfants.
Marie ne se contentait pas d'être simplement épouse ou mère exemplaire, elle mettait au profit de la société son don spécial: la guérison des rhumatismes. Sa petite fille raconte avoir été témoin de la force de sa grand-mère.
Un jour, on lui présenta un homme immobile, enroulé dans des couvertures, qui souffrait en silence. Avec un linge de toile, mouiller dans une eau tiède et salée elle le frictionna pour activer la circulation. Son pouvoir et son habilité personnelle à "frotter" permirent à ce malheureux de retourner chez-lui en fin d'après-midi soulager et en marchant. De nombreuses furent guérie des rhumatismes grâce à son don.
Recherche: Daniel cécire
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