Les Irlandais de la Gatineau
Les Irlandais de la Gatineau
Après un premier élan de colonisation de notre région en 1830 et 1850, de bien tristes circonstances allaient attirer le long de la Gatineau des centaines de nouveau venus. C'est qu'à partir de 1845, Irlande, pays soumis à l'Angleterre comme le Québec, devenait la proie d'une série d'épidémies et famines entraînant une misère et une mortalité incroyables. Des milliers et des milliers d'Irlandais, dont un bon nombre se retrouvèrent au Québec, ont été forcés de quitter leur île pour échapper à cette misère.
Charles Logue, Patrick Gace, John Cavanaugh et beaucoup d'autres pionniers de la Haute-Gatineau avaient un point en commun : ils étaient arrivés au pays après s'être exilés d'Irlande, alors en proie aux pires famines. De 1845 à 1868, la population de leur pays natal sera disséminée par la fain et par un oxyde massif vers l'Amérique du Nord. Affaiblis par l'extrême, les immigrés irlandais de la région durent traverser la mer dans des bateaux de bois prévus pour le transport des marchandises. Ils durent d'abord passer par la Grosse Île, sur le Saint-Laurent, puis Québec, Montréal, et enfin Bytown (Ottawa) où un agent des Terres les dirigeait vers la Gatineau.
Ils constituent pour une bonne partie des colons qui ont développé la Haute-Gatineau et défriché ses terres. Ces Irlandais se sont le plus souvent intégrés à des familles québécoises et ont laissé leurs noms en divers lieux de la Gatineau : Brennan's Hill, Mulligan's Ferry, l'île Lannigan, Château Logue, Gracefield, Farrellton, hôtel Murphy, ferme des McSheffry, etc. Ses immigrants ont été fermiers, employés de chantiers, commerçants, hôteliers, et ainsi de suite. L'industrie forestière, en pleine expansion, et l'activité commerciale en faisant suite à la vague de colonisation, ouvrirent toutes grandes les portes de la région à ces nouveaux venus...
Réf: Une rivière qui vient du nord
Recherche: Daniel Cécire
Après un premier élan de colonisation de notre région en 1830 et 1850, de bien tristes circonstances allaient attirer le long de la Gatineau des centaines de nouveau venus. C'est qu'à partir de 1845, Irlande, pays soumis à l'Angleterre comme le Québec, devenait la proie d'une série d'épidémies et famines entraînant une misère et une mortalité incroyables. Des milliers et des milliers d'Irlandais, dont un bon nombre se retrouvèrent au Québec, ont été forcés de quitter leur île pour échapper à cette misère.
Charles Logue, Patrick Gace, John Cavanaugh et beaucoup d'autres pionniers de la Haute-Gatineau avaient un point en commun : ils étaient arrivés au pays après s'être exilés d'Irlande, alors en proie aux pires famines. De 1845 à 1868, la population de leur pays natal sera disséminée par la fain et par un oxyde massif vers l'Amérique du Nord. Affaiblis par l'extrême, les immigrés irlandais de la région durent traverser la mer dans des bateaux de bois prévus pour le transport des marchandises. Ils durent d'abord passer par la Grosse Île, sur le Saint-Laurent, puis Québec, Montréal, et enfin Bytown (Ottawa) où un agent des Terres les dirigeait vers la Gatineau.
Ils constituent pour une bonne partie des colons qui ont développé la Haute-Gatineau et défriché ses terres. Ces Irlandais se sont le plus souvent intégrés à des familles québécoises et ont laissé leurs noms en divers lieux de la Gatineau : Brennan's Hill, Mulligan's Ferry, l'île Lannigan, Château Logue, Gracefield, Farrellton, hôtel Murphy, ferme des McSheffry, etc. Ses immigrants ont été fermiers, employés de chantiers, commerçants, hôteliers, et ainsi de suite. L'industrie forestière, en pleine expansion, et l'activité commerciale en faisant suite à la vague de colonisation, ouvrirent toutes grandes les portes de la région à ces nouveaux venus...
Réf: Une rivière qui vient du nord
Recherche: Daniel Cécire
My ggrandfather Andrew McDonnell later changed to McDonald on McDonald Rd.
RépondreEffacerFaut pas oublier les Irlandaise qui marier des Francais et on demeurer dans la region de la Gatineau Example Sarah McKinley de Antrim Irelande avec William Hebert
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